Ecoute nos rires d'autrefois Un matin d'été dans le clair soleil... Ta voix me parvient de si loin, Haut, très haut, si haut déjà... Arrivée au bord du précipice Noyée dans un épais brouillard, Apathique et meurtrie, Seule au bout de mon être Ivre de désespoir...je t'en prie... Eteins ! Rends-moi aux ténèbres...! * PatriciaM© 00038155 |
...je t'en prie...
RépondreSupprimerEteins, rends-moi aux ténébres...!
Cette phrase ... Qu'est-ce qu'on peut écrire, après ça ? Rien ...
...je t'en prie, rends-moi à la lumière ...
Si je pouvais....si seulement je pouvais... te ramener à la lumière...
SupprimerComme c'est troublant ... On sait pas quoi dire tellement on est dans l'émotion. Très réussi !
RépondreSupprimerNaissance... volontaire, mais si difficile à obtenir, même de ceux qu'on aime. Accrostiche qui accroche ! Jérôme
RépondreSupprimerVous avez trouvé une illustration glaçante pour ce point de non retour où nous serons tous confrontés. Appeler la mort ? Si je devais le faire, ce serait avec vos mots.
RépondreSupprimerAvec ce texte, vous m'avez conduite au bord du précipice et redonné, peut-être de nouvelles forces pour vivre. Curieux paradoxe où la mort donne la vie. Je vous remercie pour cette lecture qui donne à réfléchir. Sincèrement. Johanne
RépondreSupprimerVivant et déjà mort pourtant. Ce triste sort en attend plus d'un parmi nous. Vous avez une façon de crier nos "à l'aide" qui me noue la gorge ! JF
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