Les lueurs d'espoirs se brisent-elles ? Ne se transforment-elles pas en d'autres lueurs d'espoir ? Mais tu as raison, le temps qu'elles se brisent, on ressent le froid, mais hop la lumière revient ! ah je suis une éternelle optimiste lol Quelle beauté de texte,j'aime beaucoup le terme de "givrer le soir" magnifique... Bises Nathanaëlle
Ce monde est étrange qui nous donne, au soir, son crépuscule, et toute l'humeur d'achèvement et d'heures révolues qui s'y attachent ; au matin, son aurore, qui ne cesse de vouloir, de s'ébattre au jour comme au seuil de toutes les promesses et de tous les mondes possibles... Et nous sommes sur le navire qui va d'un port à l'autre, et cherche certainement le sien... Mes bises, Patricia, et mon amitié.
Moi, je suis en train d'écrire un roman, après avoir parlé avec un vieux Suédois, un témoignage, le 6 juin 1944 à "Omaha Beach", l'embarquement, il était là avec les Américains... Il faut raconter son histoire.
@Nathanaëlle : Les lueurs d'espoir se brisent et reviennent comme la vague revient inlassablement se fracasser sur la grève...Le froid finit par s'installer...Merci à toi Nath ! Bises :) @Bifane : L'aurore et le crépuscule, la lumière et l'obscurité, la vie et la mort... Ne navigons-nous pas sans cesse entre ces deux ports ? Bises à toi Ami ! :) @Maria : Merci à toi ! Tiens-moi au courant pour la suite de ton roman, je me ferai un plaisir de le lire. Bises Maria :)
Les lueurs d'espoirs se brisent-elles ? Ne se transforment-elles pas en d'autres lueurs d'espoir ? Mais tu as raison, le temps qu'elles se brisent, on ressent le froid, mais hop la lumière revient ! ah je suis une éternelle optimiste lol Quelle beauté de texte,j'aime beaucoup le terme de "givrer le soir"
RépondreSupprimermagnifique...
Bises
Nathanaëlle
Ce monde est étrange qui nous donne, au soir, son crépuscule, et toute l'humeur d'achèvement et d'heures révolues qui s'y attachent ; au matin, son aurore, qui ne cesse de vouloir, de s'ébattre au jour comme au seuil de toutes les promesses et de tous les mondes possibles...
RépondreSupprimerEt nous sommes sur le navire qui va d'un port à l'autre, et cherche certainement le sien...
Mes bises, Patricia, et mon amitié.
Magnifique ! J'aime bien tes poèmes !
RépondreSupprimerMoi, je suis en train d'écrire un roman, après avoir parlé avec un vieux Suédois, un témoignage, le 6 juin 1944 à "Omaha Beach", l'embarquement, il était là avec les Américains... Il faut raconter son histoire.
Bises
Maria
@Nathanaëlle : Les lueurs d'espoir se brisent et reviennent comme la vague revient inlassablement se fracasser sur la grève...Le froid finit par s'installer...Merci à toi Nath ! Bises :)
RépondreSupprimer@Bifane : L'aurore et le crépuscule, la lumière et l'obscurité, la vie et la mort... Ne navigons-nous pas sans cesse entre ces deux ports ? Bises à toi Ami ! :)
@Maria : Merci à toi ! Tiens-moi au courant pour la suite de ton roman, je me ferai un plaisir de le lire.
Bises Maria :)