Revoir ce monde, avec désinvolture,

Emerger des doutes et des tourments,
Laisser vivre mon cœur, ce fol enfant,
Et panser, de mon âme, les fêlures…
User, abuser de douceurs agrestes,
Comme l’enfant, à l’aube de ses ans,
Comme l’oiseau, picorant le printemps,
Jouer, rire et chanter, comme Céleste….
Dans le creux de ton cou, ma tête posée,
Dans tes mains ouvertes, nos doigts croisés,
Ecouter nos cœurs battre à l’unisson…
Front contre front, lire dans tes yeux,
Cet amour éclos pour un soleil blond,
Voir en ton âme, l’azur des cieux….
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PatriciaM © 00038155
Un oiseau qui picore le printemps ... Fais comme l'oiseau ...
RépondreSupprimerEn dehors du théatre, y-a t'il une vie ? On peut se demander.
RépondreSupprimerJouvet disait que le théatre rend aux hommes la tendresse humaine. C'est ce qu'on découvre avec joie dans votre texte. Cordialement. Luc
Vivre intensément, ce n'est pas vivre chaque jour comme si c'était le dernier, mais comme si c'était le premier. Le théatre là-dedans ? Il apporte l'illusion, rien d'autre.
RépondreSupprimerJ'aime l'idée que vous laissiez vivre votre coeur. Cela doit transformer votre vie, non ? ;) Merci de ce texte, soleil blond ... Florian