tag:blogger.com,1999:blog-1016474071789918766.post3028829990130953642..comments2023-04-26T13:44:49.693+02:00Comments on Galaxie: Les MisérablesUnknownnoreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-1016474071789918766.post-38751032313729739182009-03-10T11:25:00.000+01:002009-03-10T11:25:00.000+01:00Moi ça me fait penser à "la nuit tous les chats s...Moi ça me fait penser à "la nuit tous les chats sont gris". J'sais pas pourquoi ... <BR/>Ah, si, c'est justement parce que y'a pas de chats, dans cette nuit là : que des ombres glauques. C'est pas si tant gai que ça, tes nuits parisiennes. Tu devrais vraiment te pencher sur le problème du chat ... <BR/><BR/>En fait, j'l'aime que pour une chose ce poème : la Seine qui roule de lourds sanglots. Ca, c'est bien vu. J'crois que je vais te le piquer ...Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1016474071789918766.post-84989754396871665112009-02-06T21:25:00.000+01:002009-02-06T21:25:00.000+01:00Ce sont un peu ces nuits-là que j'ai voulu faire r...Ce sont un peu ces nuits-là que j'ai voulu faire revivre, ces nuits d'un lointain passé dans la ville aux multiples facettes, aux multiples splendeurs, aux multiples misères...<BR/>Mais ce sont les premiers mots d'un poème de Verlaine qui m'ont inspiré la suite. Alors décalé, oui sans doute un peu mais pas vraiment...Les hommes n'ont pas tant changé, la détresse devant la condition humaine non plus, je crois...<BR/><BR/>Je suis ravie que tu aimes cette nouvelle présentation, ravie de ton passage, merci ! :)Faëlivrinhttps://www.blogger.com/profile/09692294120106410357noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1016474071789918766.post-80349139131310534942009-01-28T13:30:00.000+01:002009-01-28T13:30:00.000+01:00Pourtant, qu'elle est belle, la nuit parisienne......Pourtant, qu'elle est belle, la nuit parisienne... Triste ou mélancolique, comme toutes les nuits, de quelque endroit qu'elles soient, mais belle, lumineuse, peuplée de murmures, d'histoires secrètes aux coins des rues, de longues romances au fil de la Seine et de ses ponts, de tragédies encore, qui remontent à la mémoire, pêchées dans quelque roman d'un Hugo, d'un Zola, d'une Vargas...<BR/>Il a quelque chose de vaguement décalé, ton poème. Comme une histoire que retiendrait le passé, où des visages oubliés reparaîtraient à l'ombre des portes cochères, visages d'ombre eux-mêmes. Et il s'y mêle le temps d'aujourd'hui, les nuits d'à présent, un peu comme si rien n'avait vraiment changé. Et au fond, les nuits ne sont pas si différentes de ce qu'elles furent il y a dix, cinquante ou cent ans... Les hommes non plus n'ont pas tellement changé, pourquoi leurs cités reflèteraient-elles autre chose que ce qu'ils sont ?<BR/><BR/>En passant, je trouve la nouvelle présentation de ton blog vraiment très agréable. Couleurs douces, plus vivantes que les précédentes, et l'image d'en-tête est bien jolie...Anonymousnoreply@blogger.com