tag:blogger.com,1999:blog-1016474071789918766.post166670499767711625..comments2023-04-26T13:44:49.693+02:00Comments on Galaxie: A l'Ombre de l'HistoireUnknownnoreply@blogger.comBlogger5125tag:blogger.com,1999:blog-1016474071789918766.post-39939029010298539042008-10-07T23:02:00.000+02:002008-10-07T23:02:00.000+02:00Chez moi, c'était les vieux qui f'saient l'élevage...Chez moi, c'était les vieux qui f'saient l'élevage des jeunes. Alors on passait tout not' temps libre à se promener avec un rateau et un arrosoir à la main pour aller arracher l'herbe inexistante sur les tombes des aïeux ou d'la descendance qu'avait péri à la guerre (voui madame, mon fils il est mort, et il est enterré là avec sa médaille dorée et ses oeillets blancs que j'lui change tous les jours).<BR/><BR/>Les vieux y parlaient de trucs de vieux, et les jeunes y causaient aux morts, vu que personne d'autre s'en préoccupait beaucoup. Des fois, y leur mettaient même de l'eau dans des coupelles pour les jours de pénurie, car un mort qu'a soif, j'vous raconte même pas comment c'est terrible !<BR/><BR/>Alors du coup, y'a des jours où j'me demande si je fais partie de ceux qui sont au-dessus ou au-dessous de la stèle ... j'suis dans l'doute, quoi !Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1016474071789918766.post-64441321740798918782008-10-07T22:35:00.000+02:002008-10-07T22:35:00.000+02:00C'était le "Père Lachaise", chargé d'histoire et....C'était le "Père Lachaise", chargé d'histoire et...d'histoires. <BR/>C'est plus qu'un cimetière, c'est un lieu de promenade où je me sens bien comme toi, dans tous les cimetières...<BR/>Ces dates d'un autre âge qui laissent la place au rêve, à l'imagination d'un monde perdu et pourtant tellement présent, là, en cet instant...Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1016474071789918766.post-62035035754123386812008-09-30T07:19:00.000+02:002008-09-30T07:19:00.000+02:00Comme il est étrange de percevoir en ces endroits ...Comme il est étrange de percevoir en ces endroits tant de vie... ou tant d'histoire humaine, de celle que l'Histoire oublie...<BR/>J'ai toujours profondément aimé ces endroits, moi aussi, sans y ressentir jamais aucune peur. Je me souviens, tout gamin, au cours de mes longues fugues, c'était souvent là que je venais chercher refuge pour dormir tranquille. A l'abri du domaine des morts, il ne m'est jamais rien arrivé... <BR/>Aujourd'hui, je ne peux passer devant un cimetière sans être attiré. Les plus grands surtout, les plus vieux aussi, ceux où l'on trouve des dates d'un autre âge, loin derrière, loin avant...<BR/>Tu en parles jolimement, avec délicatesse, de ces lieux retirés, où le rêve prend une dimension particulière, comme s'il s'inspirait d'autre chose que du monde...Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1016474071789918766.post-1843121081017350002007-02-13T12:09:00.000+01:002007-02-13T12:09:00.000+01:00Il reste toujours le rêve pour réinventer le monde...Il reste toujours le rêve pour réinventer le monde et ne dit-on pas que l'amour nous rend poète, et la mort philosophe ?<BR/>Vous avez certainement ces deux talents. Cordiales pensées. Jean BaptisteAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1016474071789918766.post-68509097536553726762007-01-27T16:24:00.000+01:002007-01-27T16:24:00.000+01:00Chacun ne porte t-il pas au fond de lui comme un p...Chacun ne porte t-il pas au fond de lui comme un petit cimetière de ceux qu'il a aimés ?Anonymousnoreply@blogger.com